Dans un article publié dans Sci Transl Med en janvier 2015 des auteurs en majorité américains montrent que chez la souris présentant à la suite de modifications génétiques des manifestations évoquant l’’autisme, l’’administration précoce d’ocytocine ou de substance entraînant une libération d’’ocytocine endogène diminue les manifestations anormales.
Des essais cliniques d’ocytocine dans l’autisme sont en cours, voir ce texte.