Une note de la FDA du 20 octobre 2010, complétant une note précédente, indique que les agonistes de GnRH utilisés pour obtenir une suppression de la production de testostérone chez les malades ayant un cancer de la prostate peuvent augmenter le risque d’accidents cardiovasculaires, infarctus, AVC, mort subite, et de diabète.
La connaissance de ces effets indésirables incite à mieux prendre en compte l’état cardiovasculaire des malades et à contrôler leur glycémie avant et pendant le traitement par agonistes GnRH mais l’évaluation du rapport bénéfice/risque des choix thérapeutiques et la conduite à tenir ne sont pas évidentes.
Pour en savoir plus sur les agonistes GnRH, voir gonadoréline.