La vitamine D est connue depuis les années 1930. Elle a été et est très largement utilisée pour la prévention du rachitisme et de l’ostéoporose. Des études plus récentes montrent que la vitamine D pourrait avoir des effets intéressants dans d’autres indications.
Une méta-analyse parue dans Archives of Internal Medicine du 10 septembre 2007 et intitulée « Vitamin D supplementation and total mortality » arrive à la conclusion que la supplémentation en vitamine D semble réduire chez les personnes âgées le risque de mortalité d’environ 10 %. Ce résultat positif, qui résulterait de plusieurs effets, mérite d’être confirmé.
Un certain nombre d’études montrent qu’un apport suffisant de vitamine D diminuerait le risque de certains cancers et divers mécanismes sont avancés pour l’expliquer, voir ici par exemple.
La possibilité d’un effet favorable d’une supplémentation en vitamine D dans les dépressions, en particulier les dépressions saisonnières, existe, comme le suggère cette étude.
La déficience en vitamine D peut être favorisée par une moindre exposition de la peau au soleil en raison des risques de cancer et la réduction de la consommation de produits laitiers.
La supplémentation quotidienne préconisée se situe entre 300 et 1000 unités internationales. Une spécialité de vitamine D3, cholécalciférol, que l’on peut conseiller est le ZymaD*, flacon de 333 gouttes soit au total 100.000 UI, 1 goutte égale 300 UI, qui ne coûte que 2,73 euros.
Pour en savoir plus, voir Vitamine D.