La crainte d’augmentation du risque de démence par des séances d’électroconvulsivothérapie est justifiée du fait que ces séances sont habituellement suivies de pertes temporaires de mémoire.
Une étude effectuée au Danemark et publiée dans le Lancet le 6 mars 2018 conclut que les malades qui ont eu des séances de d’électroconvulsivothérapie pour troubles psychiatriques n’ont pas plus de risque de démence que ceux qui n’en ont pas eu.