Selon un étude menée en Norvège et publiée dans le JAMA Internal Medicine du 6 novembre 2017 le risque de cancer en général et en particulier de cancer du poumon, de la prostate, du sein, serait réduit chez les personnes traitées par warfarine, Coumadine*, comparativement aux personnes ne prenant pas de la warfarine.
De telles études épidémiologiques sont complexes et présentes des incertitudes soulignées par les auteurs eux-mêmes mais ce résultat constitue un argument en faveur du choix de la warfarine par rapport aux nouveaux anticoagulants pour lesquels on ne connait pas leur incidence sur le risque de cancer.