Inhibiteurs de la pompe à protons, IPP et risque de cancer gastrique

Après un traitement à base de clarithromycine d’une infection à Helicobacter pylori  environ 5 % des malades ont continué à prendre des IPP, inhibiteurs de la pompe à protons.

Sur une durée de 8 ans d’observations, il y a eu 2 fois plus de cancers gastriques chez ceux qui avaient continué à prendre des IPP  que chez ceux qui n’avaient pas continué d’en prendre. Le risque augmentait avec la durée de prise des IPP. Par contre les antihistaminiques H2 type ranitidine n’ont pas augmenté ce risque.

Cette étude a été publiée dans le BMJ.

Ce résultat incite à ne pas prescrire des IPP à long terme.

 

 

 

 

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