Un article paru dans le Lancet suggère qu’un produit en cours de développement sous de code MLE4901, un antagoniste des récepteurs de la neurokinine 3, pourrait avoir un intérêt dans le traitement des bouffées de chaleur de la ménopause. Cet article illustre une nouvelle perspective thérapeutique des bouffées de chaleur de la ménopause pour lesquelles il n’y a pas de médicaments spécifiques.
Les neurokinines, NK, sont des oligopetides, constitués d’une dizaine d’acides aminés, présents dans le cerveau et jouant le rôle de médiateurs.
A noter à propos des neurokinines, NK, l’aprépitant, Emend* est un antagoniste de la neurokinine 1 qui s’appelle aussi Substance P.
La menopausia, no es una enfermedad.
Ya hemos tenido bastante con el Agréal que nos destrozó la salud y vida de las millones de mujeres que lo tomamos.
Por tanto, las mujeres « no necesitamos » medicamentos para los sofocos.
Además, ¿ se han hecho cargo o reconocido los Gobiernos Español y Francés de algunas de las afectadas?.
J’ai cité cet article pour signaler la possibilité d’une nouvelle orientation thérapeutique, loin d’être applicable.
Concernant Agréal, véralipride, un neuroleptique, je conviens qu’il n’aurait pas dû être commercialisé, surtout avec l’indication « traitement de la ménopause », et qu’il n’a été retiré du commerce que vers 2010.
Je ne me souviens pas bien des suites de l’affaire Agréal.
Désolé pour le temps de réponse…