Une étude publiée dans Am J Gastroenterology de mai 2016 montre que chez des malades atteints de maladies inflammatoires de l’intestin, notamment la maladie de Crohn, ceux qui avaient des taux de vitamine D bas, environ 1 tiers d’entre eux, ont eu recours à davantage de médicaments, d’examens de laboratoire ou d’imagerie, d’hospitalisations, d’interventions chirurgicales comparativement à ceux qui avaient un taux de vitamine D normal. De plus les personnes à taux bas qui avaient reçu une supplémentation en vitamine D ont moins recouru aux divers soins que ceux qui n’en avaient pas. Toutefois, les marqueurs d’inflammation, CRP et vitesse se sédimentation ne différaient pas entres les groupes.
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