Un article publié dans Ann Neurol en novembre 2014 confirme que les malades hospitalisés pour accident vasculaire cérébral, AVC, et traités d’une manière routinière par des inhibiteurs de la pompe à protons, IPP, – prazole, ont un risque 3 fois plus élevé d’avoir une pneumonie que ceux qui n’en reçoivent pas.
L’utilisation prolongée d’IPP a bien d’autres inconvénients, déjà signalés dans Pharmacorama.
Par ailleurs un traitement par IPP réduit la biodisponibilité des comprimés de lévothyroxine en ralentissant leur dissolution dans l’estomac en raison de l’élévation du pH gastrique, voir cet article.