Une étude suédoise publiée dans Schizophrenia Bulletin du 24 novembre 2014 montre que chez les schizophrènes la mortalité d’’origine cardiovasculaire et la mortalité globale sont plus élevées chez les personnes non traitées par des antipsychotiques et chez les personnes traitées par de très fortes doses d’’antipsychotiques.
Ce résultat incite à traiter les schizophrènes par un antipsychotique et à réduire, autant que faire se peut, au cours des traitements prolongés, la posologie de l’’antipsychotique utilisé !