Un article publié dans PLOS medicine, 30 septembre 2014, rappelle que les malades prenant des inhibiteurs de la pompe à protons, IPP, -prazoles, et surtout s’ils sont traités de plus par diurétiques, ont plus de risque d’avoir des hypomagnésémies que les malades ne prenant pas d’IPP.
Le risque d’hypomagnésémies est déjà signalé dans le RCP des IPP.