Dans un communiqué daté du 4 septembre 2014, la FDA annonce la commercialisation du pembrolizumab sous le nom de Keytruda* avec l’indication mélanome à un stade avancé.
Ce communiqué vante les vertus du pembrolizumab mais il ajoute quand même «An improvement in survival or disease-related symptoms has not yet been established ». Autrement dit rien ne prouve qu’il améliore la durée de survie et réduise les manifestations cliniques de la maladie.
Ce type de médicament qui apparemment n’apporte rien au malade ne devrait pas être commercialisé. Mais il n’y a rien à attendre du pouvoir politique en la matière.
La sortie de nouveaux médicaments qui n’apportent rien au malade, c’est-à-dire au moins 90 % d’entre eux, s’apparente à un véritable racket organisé à l’échelle internationale à partir, notamment, des Etats-Unis d’Amérique.