Une méta-analyse publiée dans le BMJ du montre qu’une qu’un faible taux de vitamine D mesuré dans le sérum de la la mère pendant la grossesse est associé à un risque plus élevé de diabète gestationnel, de pré-éclampsie, de vaginite bactérienne et de plus faible poids de l’enfant à la naissance. Bien qu’une corrélation entre phénomènes n’implique pas nécessairement une relation de cause à effet, ces résultats incitent à corriger chez la femme enceinte une hypovitaminose D détectée par dosage. Je pense que cette correction doit être faite par un apport répété de faibles doses de vitamine D plutôt que par des doses de charge élevées.
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