L’utilisation des corticoïdes an cours du choc septique est assez habituelle.
Une étude publiée dans Intensive Care Medicine d’octobre 2012 montre que l’administration intraveineuse de glucocorticoïdes à dose faible, de type substitutif (correspondant à 300 à 400 mg par jour d’hydrocortisone) à des adultes présentant un choc septique augmente le risque de mortalité de prés de 20 %.
Le recours aux corticoïdes à dose substitutive au cours du choc septique serait donc à éviter.
Pour information générale, voir glucocorticoïdes.