Divers indices ont fait penser qu’une déficience en vitamine D augmentait le risque de dépression.
Une large étude publiée dans American Journal of Epidemiology aboutit à la conclusion qu’une supplémentation journalière par 400 UI de vitamine D3 et 1000 mg de calcium par rapport à un placebo ne changeait rien à l’incidence de troubles dépressifs chez des femmes ménopausées.
Peut-être une dose plus élevée de vitamine D3, de l’ordre de 800 UI avec une plus faible dose de calcium, aurait-elle eu un résultat plus favorable, l’étude reste à faire.