En rassemblant les résultats de 5 essais cliniques, les auteurs, dans un article du JAMA, ont étudié l’influence du poids corporel, indice de masse corporelle, IMC, inférieur ou supérieur à 25, chez des adultes lors de l’apparition d’un diabète de type 2 sur l’évolution ultérieure de la maladie et de la mortalité. Les résultats ont été assez inattendus : l’incidence des accidents cardiovasculaires et la mortalité globale ont été environ 2 fois plus élevés chez ceux dont l’IMC était inférieur à 25 par rapport à ceux chez qui il était supérieur à 25.
Certaines manifestations « pathologiques » sont parfois dues à des mécanismes de compensation ou de défense de l’organisme contre une agression, la fièvre en est un exemple.