Une étude canadienne, publié dans le CMAJ du 6 septembre 2011, montre que la prise d’un anti-inflammatoire non stéroïdien, AINS, pendant la grossesse double ou triple le risque d’avortement. Les AINS cités sont le diclofénac, le naproxène, l’ibuprofène et célécoxib mais les autres AINS ont certainement les mêmes inconvénients ; l’aspirine n’a pas été prise en compte dans l’étude citée.
Tout un ensemble de données indique il faut éviter de recourir à un AINS, y compris l’aspirine, tout au long de la grossesse.