Des auteurs français, dont la plupart bordelais, dans un article publié dans Neurology en juin 2011, ont étudié l’influence de la consommation d’huile d’olive sur le risque d’accident vasculaire cérébral. A partir de l’évaluation de la consommation d’huile d’olive ou de la concentration plasmatique d’acide oléique, les auteurs arrivent à la conclusion que le risque d’accident vasculaire cérébral de type ischémique est réduit d’environ 50 % chez ceux qui consomment le plus d’huile d’olive comparativement à ceux qui en consomment le moins.
Ce type d’étude comporte bien sûr des facteurs confondants mais la conclusion générale va dans le sens de ce qui est observé avec le régime méditerranéen et confirme le rôle bénéfique de l’acide oléique.