Des auteurs américains, dans un article publié dans Archives of Internal Medicine, avril 2010, ont étudié chez des adultes non diabétiques, sans maladie coronaire et ne prenant pas d’antidépresseurs leur consommation de chocolat d’une part et leur humeur (tendance dépressive ou non) d’autre part. Les résultats ont montré que la consommation de chocolat était d’autant plus importante que la tendance dépressive était marquée.
S’il y a une relation de cause à effet entre les 2 paramètres, on peut conclure soit que la consommation de chocolat accentue la tendance dépressive, soit que la tendance dépressive conduit à consommer davantage de chocolat. Ce que l’on sait par ailleurs inciterait à privilégier la deuxième hypothèse.
Voir ce qui est déjà dit dans Pharmacorama à propos du chocolat ici.