Diverses sources, le Martindale par exemple, soulignent les risques cardiovasculaires de la venlafaxine, tachy-arythmie, hypertension, en utilisation normale et plus encore lors des surdosages accidentels ou volontaires.
Un article publié dans le BMJ, février 2010, conclut que le venlafaxine n’augmente pas plus le risque de mort subite d’origine cardiaque que les autres antidépresseurs, fluoxétine, citalopram ou dosulépine.
Le résumé de cet article est clair mais l’ensemble du texte est difficile à saisir. Les données brutes, en particulier sur la mortalité globale, ne sont pas accessibles. Le sens de certaine phrase comme « In the year before the year before index date » ne saute pas aux yeux.
Cette gêne à la lecture in extenso de l’article analysé contraste avec la limpidité des conclusions du résumé.
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