Les auteurs suédois présentent dans le Journal of Internal Medicine de septembre 2009 les résultats du suivi de plus de 1000 malades ayant eu un infarctus du myocarde, en fonction de leur consommation de chocolat, évaluée par un interrogatoire et classée schématiquement en quatre catégories, jamais, moins d’une fois par mois, une fois par semaine et 2 ou plusieurs fois par semaine. La mortalité d’origine cardiaque a été réduite de plus de 50 % chez ceux consommaient le plus de chocolat mais la mortalité globale, toutes causes confondues, n’a pas été réduite d’une manière statistiquement significative.
Nous avons déjà analysé dans Pharmacorama un travail qui montrait qu’une consommation élevée de cacao réduisait la mortalité d’origine cardio-vasculaire et aussi la mortalité globale.